Un article paraîtra dans une revue régionale, en septembre 2011, comparant les expositions de Charleroi (en Belgique) et de Roubaix (en France) qui se sont déroulées toutes deux en 1911. Coïncidence ou plutôt concurrence, pour ces deux villes pourtant géographiquement si proche, les deux inaugurations ont eu lieu le même jour soit le 29 avril.
On a retrouvé des divergences importantes mais aussi quelques points communs à ces deux expositions.
Si les thèmes des deux expositions sont différents, celle de Charleroi étant orientée vers la sidérurgie et celle de Roubaix vers le textile, le point commun est l'industrie minière. Cette richesse commune du sous-sol explique en partie la prospérité des deux cités au début du 20e siècle.
La plupart des expositions internationales avaient un parc d'attractions. Cet ensemble de manèges et de jeux assuraient le succès populaire. A Charleroi on trouve un Luna-Gardens et à Roubaix un Luna Park avec des attractions identiques comme la Roue Joyeuse ou un Railway.
Si les thèmes des deux expositions sont différents, celle de Charleroi étant orientée vers la sidérurgie et celle de Roubaix vers le textile, le point commun est l'industrie minière. Cette richesse commune du sous-sol explique en partie la prospérité des deux cités au début du 20e siècle.
Il est intéressant de comparer les deux entrées des parcs d'attractions comme celles des deux entrées principales monumentales.
Un restaurant de luxe accueille la clientèle dans les deux expositions, à Charleroi le bien nommé restaurant du Faisan Doré occupe le pavillon Sibertz, tandis qu'à Roubaix c'est la maison Duval de Paris qui gère le Grand Restaurant Français.
Dans ces deux expositions la Presse dispose de locaux